Élixir du Suédois bio 17,5 % Dr Theiss 200 ml

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Pour favoriser le drainage de votre organisme, soulager une digestion difficile et conserver une bonne santé, utilisez notre Élixir du Suédois bio du Dr. Theiss en bouteille de 200 ml.

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C’est bien Maria Treben, la naturaliste autrichienne (1907-1991) qui porta aux nues cet Élixir du Suédois aussi dénommé Élixir de Paracelse (1493-1541) ou Élixir Ad Longam Vitam (Élixir de longue vie).

Le Dr. Jonathan Samst (décédé à 104 ans suite à une mauvaise chute de cheval), médecin, naturaliste et recteur de l’Académie de Médecine suédoise, repris au 17ème siècle cette formule de Paracelse médecin suisse. Il y rajouta d’autres herbes médicinales. Cet Élixir était vendu à Salzburg en Autriche, là où Mozart est né.

Où peut-on le trouver ?

Á la « The Original Hofapotheke », fondée dès 1591 mais encore ouverte en 2017 à Salzburg.

Le Dr. Jonathan Samst décrivit les 46 affections que combat cet Élixir du Suédois.

La manne (frêne à manne)

La manne est encore appelée frêne à fleurs ou Orne (Fraxinus ornus).

Dès le Moyen Âge, on y puisait la sève de cet arbre : c’était donc une « manne » pour les pauvres serfs qui étaient attachés à ce travail de récolte. Elle est utilisée comme purgatif et diurétique en phytothérapie.

N’oubliez pas que le frêne est symbole de bonheur.

Dioscoride pensait qu’il nous protégeait de la morsure de certains serpents.

Pline pensait qu’il pouvait s’attaquer à l’obésité.

En Provence, il devait lutter contre la goutte.

Que nous disait Sainte Hildegarde de Bingen :

« Entoure le malade de feuilles de Frêne cuites, et il guérira de sa goutte ».

C’est pour tout cela qu’on le nomme : « l’arbre des centenaires ».

Il suffit de parcourir la France pour se rendre compte du succès du Frêne. De nombreux villages sont issus du ce frêne : Fraissinet, Frasnoy, Fragnes, Fresnoy, Fresnes, Frechon, etc.

Que nous disait-on en Alsace :

« Le frêne, arbre sacré dans la mythologie scandinave, va fournir un autre moyen de lutter contre la goutte : à midi pile, au moment où le soleil est à son apogée, il faut couper 9 éclats de frêne d’un unique coup de hache, en invoquant la protection de la Sainte Trinité. Ces éclats sont mis dans un sachet qu’on pose, le cas échéant, sur le membre douloureux ».

Racine d’Angélique

Qui dit angélique dit ange.

Et pourquoi donc ange ? On dit que cette racine d’angélique possède de grandes vertus qui peuvent lutter contre de nombreux maux. Voici une liste indicative :

- Mauvaise digestion et problèmes intestinaux.

- Flatulence, aérophagie, acidité gastrique.

- Migraines.

- Asthme.

- Anémie.

- Insomnie.

- Baisse de désir.

- Règles douloureuses.

On l’appelait aussi racine du Saint-Esprit, car elle accompagnait les fumigations pour éloigner et éradiquer la peste.

Il y a même un des uniques centenaires du 18ème siècle, Annibal Camoux (1638-1759) qui pour atteindre les 121 ans, mâchait de la racine d’angélique. Il est même représenté sur une peinture accrochée au Louvre, tableau de 1754 !

L’angélique est considérée comme une panacée.

L’Aloès naturel

Quand une plante traverse l’histoire, vous vous dites : « il y a du bon », c’est à dire que des générations entières de personnes ont expérimentés avant vous et en ont fait un constat positif.

Pour l’aloès, cela commence au temps des Pharaons où Néfertiti s’en servait dans son bain, un bain de jus d’aloès.

Pline l’Ancien (23-79 apr. J.-C.) pensait faire repousser les cheveux. En tout cas il va lutter contre la séborrhée et les pellicules.

Alexandre le Grand (356-323 av. J.-C.), roi de Macédoine, avait fort besoin de l’aloès pour soigner les soldats blessés après les rudes batailles.

Certains s’en servaient pour masquer les mauvaises odeurs corporelles surtout au temps du Moyen Âge.

Tibère (Claudius Nero), empereur romain (42 av. J.-C. à 37 apr. J.-C.), prenait l’aloès en forme de jus pour performer sexuellement.

Les médecins sumériens la connaissaient déjà.

Dans la vallée de Rio Grande proche du Mexique, depuis des millénaires, la population s’en servait pour des problèmes de peau.

Mais aujourd’hui elle sert à :

- Les brûlures.

- L’acné.

- Les déchirures musculaires.

- Les ulcérations.

- En cas d’eczéma.

- En cas de mycoses.

- En cas d’herpès.

Avec sa fleur jaune, on en fait une tisane.

Racine de Rhubarbe

Cette racine de rhubarbe (Rheum rhaponticum), de la famille des Polygonacées, va lutter contre le staphylocoque doré.

En bain de bouche, elle va lutter contre les infections de la cavité buccale. Là vous n’utiliserez que les racines car les feuilles de rhubarbe sont toxiques car elles contiennent de l’acide oxalique.

Cette racine va aussi lutter contre les diarrhées. La poudre de racine de rhubarbe agit comme un tonique digestif.

Comme vitamines, nous auront : A, C, D et B.

Comme sels minéraux, nous auront : magnésium, calcium et fer.

Feuilles de séné (Cassia angustifolia)

Elle est originaire de l’Inde, près de Madras.

Pour quoi est-elle reconnue ?

Pour ses propriétés laxatives, et va donc lutter contre les constipations passagères. Elle va stimuler le gros intestin et donc accélérer le transit intestinal.

Joannes Actuarius (1275-1328), médecin byzantin, en parlait dans ses ouvrages. Elle va lutter contre la constipation en ramollissant les selles.

Elle est reconnue par :

- L’ESCOP (European Scientific Cooperative on Phytotherapy).

- L’EMA (European Medicines Agency).

- L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé).

- La Commission E allemande qui vérifie la véracité bienfaisante des produits en diététique mis sur le marché allemand. Elle confirme son usage pour la constipation.

Racine de Zédoaire

La racine de zédoaire (Curcuma zedoaria) de la famille des Zingibéracées, nous vient d’Indonésie, là où il pousse de grandes forêts tropicales.

Elle favorise la digestion, assainie le sang et protège l’estomac.

Elle est vermifuge et sudorifique. Elle active la sécrétion de la bile.

Sainte Hildegarde de Bingen (1098-1179), abbesse bénédictine, en faisait déjà usage au temps du Moyen Âge quand les personnes étaient faibles et à bout de force.

La Myrrhe

En son temps Sainte Hildegarde de Bingen utilisait la myrrhe avec l’aloès qui devaient ensemble guérir les ulcères. En y rajoutant de la craie blanche et du vin acide, elle confectionnait un emplâtre pour débarrasser l’Homme de la vermine !

Et aujourd’hui ?

La myrrhe (Commiphora molmol) est une sorte de gomme résine venant de l’arbre à myrrhe.

Souvenez-vous des Rois mages (Melchior, Gaspard, Balthazar) qui apportèrent de la myrrhe, de l’encens et de l’or à la naissance de Jésus.

Que nous dit-on en Allemagne dans cette célèbre Commission E qui veille à la santé publique en contrôlant chaque plante et chaque produit mis sur le marché allemand : c’est bien pour une lutte contre les inflammations de la cavité buccale que la myrrhe fera son effet.

Certains fabricants incorporent la myrrhe dans les dentifrices. Aux États-Unis, vous la trouverez dans des rince-bouche vendus en pharmacie.

Ses propriétés (anti-infectieuse, aseptisante, expectorante, antivirale) font que les Pèlerins de Compostelle, à Saint-Jacques de Compostelle, pour le 25 juillet, ont droit à une cathédrale archicomble mais embaumée par la myrrhe, car vous le comprenez bien, un pèlerin après son périple de plus de 1000 kilomètres sur le chemin de Compostelle, surtout au Moyen Âge ne devait pas propager de maladies.

Il y a dans cet encens balancé grâce au botafumeiro (encensoir de 54 kilos à vide, chargé il fera près de 90 kilos) à travers la cathédrale de Saint Jacques de Compostelle, à la fois un acte religieux et en même temps un acte de santé publique. D’autant plus que les pèlerins dormaient à l’intérieur de la cathédrale à partir du Moyen Âge jusqu’au début du 20ième siècle. Il fallait donc mettre avec cet encensoir en métal argenté fin aux odeurs de tous ces pèlerins. Victor Hugo le baptisa « le roi des encensoirs ». Encensoir qui tomba au sol en 1501, puis en 1602.

Racine de Carline

C’est bien à la famille des Astéracées que se réfèrent les carlines (Carlina acaulis).

On utilise la racine sur des plaies et la peau, la carline désinfectera et en même temps va cicatriser.

Elle va s’attaquer à l’eczéma et à l’acné.

En plantation, elles arrivent jusqu’aux Vosges mais c’est une plante des régions sèches et montagneuses.

Où peut-on la trouver dans les Vosges ?

Les belles journées automnales pointant, c’est près des genévriers que l’on croisera la carline acaule mais seulement sur cette partie des Vosges : le versant sud, près du Petit Ballon. On va la trouver à côté de la luzule glabre, de la pensée des Vosges, du saule bicolore, de la potentille de Salsbourg, de l’angélique des Pyrénées, de l’épilobe de Durieu ou de la mulgédie de Plumier.

Mais d’où vient son nom de Carlina ?

Du nom de Charlemagne (742-814) qui conseilla, au moment des épisodes de peste, d’en manger, tout cela pour préserver son armée.

Il y a encore 50 ans, les médecins naturalistes, conseillaient la carline acaule pour contrer auprès des malades leur eczéma récalcitrant.

Comment donc ?

Tout simplement avec des infusions de la racine de carline acaule (Carlina acaulis).

Camphre naturel

Il entre dans le très célèbre Baume du Tigre, c’est son composant le plus important. Le camphre (Camphora) est extrait du bois de Cinnamomum camphora.

C’est par distillation à la vapeur d’eau que le camphre est extrait du bois du camphrier qui peut atteindre 45 mètres de haut. Il faudra attendre 30 ans avant de pouvoir récolter le camphre.

Il est bien connu pour s’attaquer aux irritations cutanées et mêmes aux piqûres d’insectes.

Analgésique, il va s’attaquer aux tensions musculaires.

Antalgique, il va atténuer les douleurs des contusions.

En tant que stimulant respiratoire, il va être d’une précieuse aide face à l’asthme.

Il arrive dans l’histoire grâce à Marco Polo (1254-1324), marchand vénitien, qui le cite, c’était en 1298 (« Le Livre des merveilles du monde »). Il faut savoir qu’à cette époque, le camphre avait la même valeur que l’or.

L’actée à grappe

L’actée à grappe (Cimicifuga racemosa) est de la famille des Ranunculaceae.

L’Hôpital Universitaire de Zürich nous annonce qu’avec le Cimicifuga racemosa, cela peut mener à l’apoptose des cellules cancéreuses, in vitro.

Des recherches de la Faculté de médecine de Laval au Canada ont prouvé que l’actée à grappe noire, freine la croissance des cellules cancéreuses du sein, in vitro.

La Commission E en Allemagne nous indique que l’extrait d’actée à grappes noires (Cimicifuga racemosa) aurait un effet positif dans le traitement des symptômes se la ménopause mais aussi pour les bouffées de chaleur.

La valériane

La valériane est encore appelée l’amie de Morphée.

Qui est donc Morphée ?

C’est une divinité sortie tout droit de la mythologie grecque. Fils de Nyx (la déesse de la nuit) et de Hypnos (Le dieu du sommeil), ce Morphée a pour pouvoir d’endormir tous les mortels rencontrés.

Ovide (43 av. J.-C. à 18 apr. J.-C.), poète latin, lui rendit hommage dans les Métamorphoses. De là on comprend bien à quoi cette Valériane est destinée.

La valériane, du latin valere qui signifie « bien se porter », est une plante vivace qui fleurit de mai à mi-août, elle fait partie des bouquets d’herbes bénis le jour de l’Assomption de la Vierge Marie, le 15 août, ici en Alsace et de l’autre côté de la rive du Rhin, en Allemagne.

Le botaniste allemand et père de la botanique allemande, Otto Brunfels (1488-1534), nous conseille de boire de la valériane avec du vin pour ne pas être sujet à la peste. D’ailleurs dans ces temps où la peste sévissait, du temps où Matthias Grünewald (1475-1528) peignait le Retable d’Issenheim (1516) que vous pouvez admirer au Musée d’Unterlinden à Colmar, on disait :

« Buvez de la valériane, si non vous y passerez tous ».

Au XVII siècle, on soignait les personnes sujettes à la danse de Saint Guy et l’hystérie avec de la valériane. On pensait que les personnes atteintes par la maladie de chorée de Huntington étaient possédées par le démon, alors on les brûlait. En quoi se manifeste cette chorée de Huntington ? Dans ce livre « L’ère du Soupçon » édité chez Gallimard en 1956, Nathalie Sarraute, nous annonçait :

« Cet enfant se contorsionne, il grimace, une sorte de danse de Saint Guy, disloque tous ses mouvements, il s’exhibe dans des poses grotesques ».

Sainte Hildegarde de Bingen l’utilisait pour contrecarrer la goutte et la pleurésie.

Nicolas Lémery (1645-1715), apothicaire et chimiste français, citait déjà la valériane dans son « Traité des drogues simples » de 1698, ainsi que dans son cours de chimie de 1675.

Pietro Andrea Matthioli (1501-1578), médecin et botaniste italien, guérit de l’épilepsie en 1592 grâce à la valériane mais est mort de la peste.

Le docteur François Joseph Cazin (1788-1864), médecin du XIXème siècle, dans son « Encyclopédie des plantes médicinales » de 1850, parlait de la valériane.

Voilà quelqu’un d’admirable dans ce monde médical. Chez Diététique du Nouveau Monde, nous admirons le sens du partage comme nous essayons de le faire pour arriver à lutter contre le cancer et Alzheimer.

Calais était cette ville où exerçait le docteur François Joseph Cazin. Mécontent de ce monde citadin, il partit à la campagne, là le Boulonnais (dans la région Hauts-de-France, département du Pas-de-Calais avec ses 74 communes).

C’est là que, dans cette campagne abandonnée médicalement, qu’il décida de mettre son savoir à portée des gens du peuple. Comment donc ? Grâce aux plantes comme la valériane qui poussent dans cette campagne désolée, plantes (les simples) qui sont à portée de main de quiconque mais dont très peu de gens en ont la connaissance.

Il fallait donc être :

- Efficace.

- Peu coûteux.

- Accessible au plus grand nombre.

C’est de là qu’est né le « Cazin ».

En 1850 paraît son traité de phytothérapie intitulé : « Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes » (F. J. Cazin).

C’est bien la référence en phytothérapie depuis 130 ans, ouvrage couronné par l’Académie de Médecine en 1868. Ouvrage de 1280 pages édité par Abel Franklin.

Dans le « Culpeper’s Complete Herbal » de 1813, du docteur et botaniste anglais Nicholas Culpeper (1616-1654), on y cite la valériane qui devait lutter contre l’asthme.

La valériane, voilà une plante bien utilisée et bien décrite au cours de l’histoire.

Le safran

Il s’agit bien de la fleur du Crocus sativus que nous livre le safran. Le safran est de la famille des Iridacées.

Déjà, 2700 av. J.-C., dans cette Chine sous l’empereur Chen Nong, on retrouve le safran cité dans le « Shennong bencao jing », ce livre de traité des herbes médicales.

Puis nous vient le papyrus Ebers (1830), ce rouleau de 110 pages et long de 20 mètres, où l’on retrouve le safran, là comme aphrodisiaque.

Pline l’Ancien (23-79) lui reconnaît de nombreux usages.

Cléopâtre, dernière reine et pharaon d’Égypte (-69 à -30), se maquillait avec le safran.

Du temps des Romains, les esclaves étaient chargés de préparer des « bains safranés »

Entre 1347 et 1351, sévissait la Peste noire. C’est bien durant cette période que dans la ville de Bâle, on cultiva le safran qui ne pouvait être utilisé que pour ses habitants. On croyait que le safran pouvait contrecarrer la peste, mais aussi la rougeole, la jaunisse, la dysenterie.

Comment le safran arriva en France ?

Un croisé au XIIème siècle, en évidant son bâton de pèlerin, ramena le safran en France au retour des croisades.

Et son effet aphrodisiaque ?

Voilà, un réel aphrodisiaque pour les femmes. Il favoriserait les sécrétions vaginales, il ferait gonfler les seins. On s’en servait pour en poudrer les draps des jeunes mariés.

Mais déjà Zeus que l’on considérait dans la mythologie grecque comme le plus puissant des dieux, accueillait les jeunes femmes, dont Dioné, mère d’Aphrodite et Léto, mère d’Artémis et d’Apollon, sur son lit de safran, qui devait renforcer leur désir.

Mais contre quoi le safran va-t-il lutter ?

- Les règles douloureuses.

- Le manque d’appétit.

- Le mal de mer.

- Les gencives douloureuses.

- La digestion difficile.

- La sècheresse vaginale.

- La frigidité.

La cannelle

Alexandre le Grand (356-322), roi de Macédoine, exigeait pour plaire à ses conquêtes féminines que tous ses plats soient relevés par deux épices : la cannelle et le safran.

Mais aujourd’hui ?

Dans la lutte contre la maladie d’Alzheimer, la cannelle revient au premier plan grâce à des études venant des U.S.A.

Que nous disent ces centres de recherche : la cannelle pourrait stopper la genèse même de la maladie d’Alzheimer.

Dans l’échelle antioxydante de la Tufts University à Boston, l’échelle ORAC (Oxygen Radical Absorbance Capacity), la cannelle s’attribue la note de 131420 points ORAC. Très belle, même excellente valeur pour lutter du côté des antioxydants.

Dans la lutte contre le cancer, que fera la cannelle ?

Dans les écrits du chercheur Lu, dans « Novel angiogenesis inhibitory activity in cinamom extract blochs VEGFR2 kinase and downstream signaling » de 2010, il est précisé que la cannelle bloque l’angiogenèse, c’est à dire cette capacité à former de nouveaux vaisseaux, pour que le cancer ne puisse pas progresser.

Pour parfaire, nous conseillons d’y adjoindre au même moment du thé vert avec son EGCG, des fraises pour l’acide ellagique, et des myrtilles avec ses delphinidines. Vous rentrez là dans notre concept des « Quatre Mousquetaires », c’est à dire 4 aliments combattants de front et ensemble, vont être plus efficace. Une étude japonaise de 1990, le confirmant, jusqu’à un coefficient de 90 % de risque de cancer du sein en moins.

La cardamome

La cardamome (Elettaria cardamomum) est une plante herbacée de la famille des Zingibéracées.

C’est le fruit séché qui va servir comme épice. Elle nous vient, à son origine, d’Inde.

Á quoi sert-elle aujourd’hui ?

- Pour la digestion.

- Carminative (favorise l’expulsion des gaz intestinaux).

- Prévenir les problèmes de gorge.

- Calmer les douleurs de l’estomac.

- Stimulante.

- Neutralise l’odeur de l’ail.

Marc Antoine (83 av. J.-C. à 30 av. J.-C.), célèbre général et homme politique romain a-t-il été séduit par Cléopâtre (-51 à -30) grâce au parfum de la cardamome qui envahissait le palais de cette reine d’Égypte qu’était Cléopâtre la descendante des Ptolémées ? A-t-elle servi à Marc Antoine du vin chaud à la cardamome ?

Voilà tous les ingrédients de cet Élixir du Suédois élaboré par le Dr. Theiss.

Ingrédients

Composition : Alcool 17,5 % vol. de raisins issus de l’agriculture biologique. Extraits des plantes aromatiques : Manne, racine d’angélique*, aloès naturel, racine de rhubarbe, feuilles de séné*, racine de zédoaire, myrrhe, racine de carline, camphre naturel, actée à grappe, valériane*, safran*, cannelle*, cardamome*.

*Plantes issues de l’agriculture biologique.

Ce produit a reçu le label bio Ökö Garantie BCS.

Conseils d’utilisation

La dose conseillée est d’une cuillère à soupe deux fois par jour.

L’Élixir du Suédois peut être consommé pur ou alors être dilué dans une infusion, dans un jus de fruits ou dans un jus de légumes.

Il faut bien agiter le flacon avant d’utiliser le produit. Un aspect trouble peut apparaître mais il ne nuit en rien à la qualité du produit.

Cet Élixir du Suédois est une liqueur alcoolisée à 17,5°, il doit donc être consommé avec modération. L’abus d’alcool est dangereux pour la santé.

Ce produit ne doit pas être utilisé par les femmes enceintes ou allaitantes.

Ce produit est à tenir hors de portée des enfants.

Ce produit n’est pas un médicament mais un complément alimentaire, respectez les doses conseillées, demandez un avis à votre médecin et ce complément ne se substitue pas à une alimentation variée.

Conditionnement

Ce produit est vendu dans un flacon de 200 ml.

Ce complément alimentaire doit être conservé au frais et à l’abri de la lumière.

Fabricant

Le code barre (Gencod) de ce complément alimentaire est : 4016369521038.

Le numéro ACL (numéro d’identification des produits de santé et de soin hors médicaments) pour ce produit est : 6531135.

Ce produit est fabriqué en Allemagne par la société Dr. Theiss Naturwaren GmbH et est distribué en France par Dr. Theiss Naturwaren France située en Alsace. 1001 est la référence du distributeur pour notre Élixir du Suédois bio à 17,5 % d’alcool en flacon de 200 ml.

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